Avant toutes choses...


Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), dit :
« ... toute faute et toute insulte sera remise à l'homme », homme ou femme « , mais l'insulte contre l'esprit ne sera pas remise. »

Évangile selon Matthieu, chapitre 12, verset 31

Toutes fautes pourront être guéries. Mais pour admettre qu'il y a faute, il faut écouter l'esprit de Dieu en soi.

Dieu ne peut pas pardonner les fautes qu'on ne lui laisse pas guérir, qu'on refuse d'admettre.

Il faut écouter l'esprit de Dieu en soi...


Dès le ventre de ma mère...


Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun « C'est toi ... qui m'as tissé dans le sein de ma mère. »

Psaume 138, verset 13

Dès le ventre de notre mère, Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, nous a tissé au coeur de la vie de notre mère.

Dès le ventre de nos mères nous sommes tous déjà fils, fils et filles de notre père Divin commun, de Dieu créateur de tous, de Yahvé (יהוה ), Lui qui est la source de toutes créations.

Toutes créations part du néant relatif vers le bien absolu. La vie est fondamentalement un bien au delà du néant. La vie est un chemin de bien vers son absolu, vers son créateur, vers Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun.

Aucune existence ne peut retourner au néant par nos choix. Aucune existence ne peut retourner à l'absence de création. Ce qui a été créé ne peut pas disparaître dans le néant par nos actions. Rien ne peut retourner avant la création. On ne peut pas effacer la création de Dieu.


« ... il sera rempli d’esprit saint dès le ventre de sa mère ... », rempli de l'esprit saint, rempli de l'esprit de Dieu.

Évangile selon Luc, chapitre 1, verset 15

La vie humaine symbolisée par le sang et la vie divine, l'esprit de Dieu en nous, symbolisée par le souffle : l'enfant a déjà tous ce qu'il faut pour être vraiment et pleinement vivant.

Dès le ventre de sa mère, Dieu est déjà présent dans l'enfant par son esprit saint. La vie divine est déjà donnée par le souffle de Dieu.

Dès le ventre de nos mères, nous sommes tous déjà dignes d'être appelés fils, fils et filles de Dieu.


« Marie ... le fruit de tes entrailles est béni. »

Évangile selon Luc, chapitre 1, verset 42

Parmi les femmes, la mère porte le bien de notre père Divin commun, de Dieu créateur de tous, de Yahvé (יהוה ). En elle le bien est présent aussi par l'enfant.

Le bien de Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, rejaillit sur la femme, sur la mère qui porte la création de Dieu.

Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, a voulu qu'une femme soit porteuse avec sa chair, avec toute son humanité, du vrai espoir de l'humanité, Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,).


Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun dit : « Avant même de te façonner dans le sein de ta mère, je te connaissais ; avant que tu viennes au jour, je t’ai consacré ... »

Paroles de Jérémie, chapitre 1, verset 5

Avant même d'être enfants de nos mères, nous sommes tous voulus de notre père Divin commun, de Dieu créateur de tous, de Yahvé (יהוה ). Notre existence compte pour Lui dès son début.


« ... l’enfant reçut le nom ... le nom ... donné avant sa conception. »

Évangile selon Luc, chapitre 2, verset 21

Avant même d'être dans le ventre de sa mère, notre père Divin commun, Dieu créateur de tous, Yahvé (יהוה ), connaît déjà l'enfant par son nom : cet enfant est déjà unique, irremplaçable pour Lui. Il est déjà son enfant.

Dès le ventre de sa mère, l'enfant est déjà unique, il est irremplaçable par un autre. Dieu le connaît déjà par son nom.


Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, « Ne les a-t-il pas formés dans le ventre tout comme moi ? N’est-ce pas le même qui nous a façonnés dans le sein maternel ? »

Livre de Job, chapitre 31, verset 15

Job est un homme juste accablé de malheurs. Il est celui qui, au-delà de l'apparence des malheurs passagers, espère vraiment en notre père Divin commun, Dieu créateur de tous, Yahvé (יהוה ).

Job est celui qui ne fuit pas la réalité avec les consolations rapides que les autres lui offrent, mais il est celui qui espère la vraie plénitude du bonheur dans la vérité.

En se comparant ici à un esclave, Job affirme que nier la dignité humaine de l'autre dès le sein maternel, c'est nier sa propre dignité humaine, car nous sommes tous pleinement humains, fils et filles de Dieu, frères et soeurs par Dieu dès le sein maternel.

Je ne peux prétendre au respect de ma liberté, si je refuse aux autres ce qui justifie ma liberté : la dignité humaine.

Nous sommes tous liés par Celui qui nous surpasse tous en sagesse; tous unis dès notre début par le créateur éternel, Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, Yahvé (יהוה ).


« Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, ... », enceinte de Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), « ... l’enfant tressaillit en elle. Alors, Élisabeth fut remplie d’esprit saint, ... », remplie de l'esprit de Dieu.

Évangile selon Luc, chapitre 1, verset 41

Dès le ventre de sa mère, l'enfant qui rencontre déjà son frère Divin, Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), rempli sa mère de l'esprit de Dieu par sa vie.

L'enfant est un signe vivant pour sa mère, un signe de vie Divine pour tous, un sacrement dans le ventre de femmes.


Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, « ... dès le ventre de ma mère, tu es mon Dieu. »

Psaume 21, verset 11

Ce psaume est celui de la passion de Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,) sur la croix; le psaume de Dieu parmi nous, de Dieu fils de l'homme qui a voulu être parmi nous dès le sein maternel, dès le début de la vie humaine. Ce psaume est celui de la passion de Dieu pour ses enfants, fils et filles.

Tout humain est lié à Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, dès le ventre de sa propre mère; nous sommes tous dignes d'être humains dès le ventre de nos mères.

Par Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), par Dieu parmi nous, par Dieu fils de l'homme, comme Lui dès le sein maternel, nous sommes tous dignes de notre père Divin commun, de Dieu créateur de tous, de Yahvé (יהוה ), digne de ce qui est plus grand que notre sagesse et que notre volonté humaine.


« ... l’enfant a tressailli d’allégresse en moi. »

Évangile selon Luc, chapitre 1, verset 44

Dès le ventre de sa mère, l'enfant éprouve déjà la joie de rencontrer le maître de la vie, Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,). Déjà il éprouve la joie de la vie par Lui, avec Lui et en Lui.

L'enfant est un signe vivant, un signe de vie divine, un sacrement pour sa mère.


Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, « ... Dieu m’avait mis à part dès le sein de ma mère ; dans sa grâce, il m’a appelé ; et il a trouvé bon de révéler en moi son fils  », Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,).

Lettre de Paul aux Galates, chapitre 1, verset 15 et 16

Dès le sein maternel, l'enfant est à l'image de Dieu, il dévoile par sa vie d'homme, homme et femme, le Dieu fils de l'homme.

Quand le bien absolu le juge bon dans sa sagesse insurpassable de créateur de tous, rien de mieux n'est possible.

Toute création est bonne, car toute création part du néant vers le bien absolu: toute création, toute vie est un chemin de bien dès son départ.


Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, « Toi, mon soutien dès avant ma naissance, tu m'as choisi dès le ventre de ma mère ... »

Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, « Dans ta justice, ... libère-moi, ... sauve-moi. ... » « ... ma forteresse et mon roc, c'est toi ! »

Psaume 70, verset 6, 2 et 3

Depuis le tout début, depuis le ventre de nos mères, notre père Divin commun, Dieu créateur de tous, Yahvé (יהוה ) est la fondation de nos vies.

Dès le ventre de nos mères, nous sommes tous fils, fils et filles de notre père Divin commun, Dieu créateur de tous, Yahvé (יהוה ). Nous sommes tous installés en Lui, nous sommes tous membres de sa famille.

Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, est le seul à offrir la vraie liberté, Lui qui nous a librement créés, et Lui qui nous a créé libre car nous aimant fidèlement avant et après nos choix.

Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, notre père Divin commun, est la source de la vraie justice, car il a tout créé de manière juste avec la sagesse et dans la vérité.


« ... mourir dès le ventre : ma mère serait devenue mon tombeau, et son ventre me porterait toujours. »

Paroles de Jérémie, chapitre 20, verset 17

Le ventre de la femme : symbole de fécondité depuis la nuit des temps. La mère : symbole de vie. Tout ceci est maintenant aussi symbole de mort comme l'est un tombeau, symbole aussi d'égoïsme prisonnier de moi.

La mort dans le ventre de la mère, une mort dans l'âme. Cette âme gardée morte, gardée morte jusqu'à la demande de pardon à notre père Divin commun.

La mort dans le ventre de la mère est une vraie mort, un vrai deuil est à faire. Un vrai deuil est en attente d'être le chemin de résurrection, le chemin d'une vie nouvelle.


« C'est toi ... qui m'as tissé dans le sein de ma mère. »

« ... il sera rempli d’esprit saint dès le ventre de sa mère ... »

« Marie ... le fruit de tes entrailles est béni. »

« Avant même de te façonner dans le sein de ta mère, je te connaissais ; avant que tu viennes au jour, je t’ai consacré ... »

« ... l’enfant reçut le nom ... le nom ... donné avant sa conception. »

« Ne les a-t-il pas formés dans le ventre tout comme moi ? N’est-ce pas le même qui nous a façonnés dans le sein maternel ? »

« Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, ... l’enfant tressaillit en elle. Alors, Élisabeth fut remplie d’esprit saint, ... »

« ... dès le ventre de ma mère, tu es mon Dieu. »

« ... l’enfant a tressailli d’allégresse en moi. »

« ... Dieu m’avait mis à part dès le sein de ma mère ; dans sa grâce, il m’a appelé ; et il a trouvé bon de révéler en moi son fils ... »

« Toi, mon soutien dès avant ma naissance, tu m'as choisi dès le ventre de ma mère ... Dans ta justice, ... libère-moi, ... sauve-moi. ... ma forteresse et mon roc, c'est toi ! »

« ... mourir dès le ventre : ma mère serait devenue mon tombeau, et son ventre me porterait toujours. »

Dieu père créateur de tous, nommé Yahvé (יהוה ), Dieu parmi nous, fils de l'homme, nommé Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), David, Jérémie, Job, Luc et Paul disent tous clairement la même chose : dès le ventre de sa mère, dans sa genèse, à son tout début, l'enfant est déjà créé à l'image de Dieu, l'enfant est déjà un être humain, un être unique, un être irremplaçable, un enfant de Dieu voulu par Dieu.

Nous pouvons tous être aveugles, aveugles aux autres, égoïstes, et ainsi réussir à tous justifier à mon moi même. Le plus grand mensonge est celui que je me créer et que je crois. La pire prison, c'est celle qu'on se construit.


Tu ne commettras pas de meurtre...


Notre père Divin commun, Dieu créateur de tous, Yahvé (יהוה ), dit :
« Tu ne commettras pas de meurtre. »

Livre: Et voici les noms (Exode), chapitre 20, verset 13

Notre père Divin commun, Dieu créateur de tous, Yahvé (יהוה ), dit :
« Tu ne commettras pas de meurtre. »

Livre: Ces paroles (Deutéronome), chapitre 5, verset 17

Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), dit :
« ... Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements. ... Tu ne commettras pas de meurtre. ... Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

Évangile selon Matthieu, chapitre 19, versets 17 à 19

Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), dit :
« Tu connais les commandements : Ne commets pas de meurtre ... »

Évangile selon Marc, chapitre 10, verset 19

Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), dit :
« Tu connais les commandements : ... ne commets pas de meurtre ... »

Évangile selon Luc, chapitre 18, verset 20

« ... celui qui aime les autres a pleinement accompli la Loi. ... La Loi dit : ... tu ne commettras pas de meurtre ... Ces commandements et tous les autres se résument dans cette parole : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

Lettre de Paul aux Romains, chapitre 13, versets 8 et 9

On aura beau dire, on aura beau faire, seul l'obscurantisme permet de cacher la vérité. Dès le ventre de sa mère, dans sa genèse, dès son tout début, l'enfant est déjà créé à l'image de Dieu, l'enfant est déjà un être humain. Donc, clairement, l'interruption volontaire de grossesse, l'avortement, est un meurtre. Il faut choisir l'aveuglement pour dire le contraire.

On ne peut pas faire pour le mieux si l'on ne suit pas les commandements de l'ultime mieux, le bien absolu : Dieu. On ne peut faire le bien si l'on ne suit pas les commandements du bien absolu : Dieu.

« Tu ne commettras pas de meurtre. » est un commandement de Dieu. C'est une exigence incontournable de l'amour vrai.

Dieu père créateur de tous, nommé Yahvé (יהוה ), Dieu parmi nous, fils de l'homme, nommé Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), Moïse (משה العربية), Matthieu, Marc, Luc et Paul disent tous la même chose très clairement : « Tu ne commettras pas de meurtre. »

On ne peut aimer pour vrai, on ne peut prétendre à la source de l'amour, lorsqu'on tente de se justifier, de justifier à son égo, le meurtre de son prochain.


Tu aimeras ton prochain comme toi-même...


Notre père Divin commun, Dieu créateur de tous, Yahvé (יהוה ), dit :
« ... Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis le seigneur. » (יהוה ).

Livre: Yahvé convoque (Lévitique), chapitre 19, verset 18

Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), dit :
« ... Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

Évangile selon Matthieu, chapitre 22, verset 39

Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), dit :
« ... Tu aimeras ton prochain comme toi-même. ... »

Évangile selon Marc, chapitre 12, verset 31

Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme, Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), dit :
« ... Tu aimeras ... ton prochain comme toi-même. »

Évangile selon Luc, chapitre 10, verset 27

« ... Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

Lettre de Paul aux Romains, chapitre 13, verset 9

« ... Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

Lettre de Paul aux Galates, chapitre 5, verset 14

« ... Tu aimeras ton prochain comme toi-même ... »

Lettre de Jacques, chapitre 2, verset 8

Si tu aimes ta propre vie au point de la préserver et de la vouloir libre, alors tu dois aimer et agir de même pour la vie de ton prochain, de celui qui est proche de toi.

Aime ceux qui sont plus proches de toi, car l'amour existe lorsque la proximité existe. Le plus proche est ton premier prochain à aimer.

Qui veut être aimé pour vrai doit aimer en accord avec la vérité, aimer selon le maître de cette vérité (יהוה ), aimer selon le maître de ce commandement d'amour.

Dieu père créateur de tous, nommé Yahvé (יהוה ), Dieu parmi nous, fils de l'homme, nommé Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), Moïse (משה العربية), Matthieu, Marc, Luc, Paul et Jacques disent tous la même chose : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.

On ne peut pas aimer pour vrai lorsqu'on tente de se justifier le meurtre de son prochain.


Allez de l'avant...


Jean-Paul II a dit : « Je voudrais adresser une pensée spéciale à vous, femmes qui avez eu recours à l'avortement. L'Église sait combien de conditionnements ont pu peser sur votre décision, et elle ne doute pas que, dans bien des cas, cette décision a été douloureuse, et même dramatique. Il est probable que la blessure de votre âme n'est pas encore refermée. En réalité, ce qui s'est produit a été et demeure profondément injuste. Mais, ne vous laissez pas aller au découragement et ne renoncez pas à l'espérance. Sachez plutôt comprendre ce qui s'est passé et interprétez-le en vérité. Si vous ne l'avez pas encore fait, ouvrez-vous avec humilité et avec confiance au repentir : « Yahvé (יהוה ), Dieu créateur de tous, » le père de toute miséricorde vous attend pour vous offrir son pardon et sa paix dans le sacrement de la réconciliation. Vous vous rendrez compte que rien n'est perdu et vous pourrez aussi demander pardon à votre enfant qui vit désormais dans le seigneur « Jésus christ (יהו׳שוע † عيسى‎,), Dieu parmi nous, Dieu fils de l'homme ». Avec l'aide des conseils et de la présence de personnes amies compétentes, vous pourrez faire partie des défenseurs les plus convaincants du droit de tous à la vie par votre témoignage douloureux. Dans votre engagement pour la vie, éventuellement couronné par la naissance de nouvelles créatures et exercé par l'accueil et l'attention envers ceux qui ont le plus besoin d'une présence chaleureuse, vous travaillerez à instaurer une nouvelle manière de considérer la vie de l'homme. »

Jean-Paul II, Evangelium Vitae (Évangile de la vie), article 99

Nous sommes capables de détruire ou de bâtir. Nous sommes capables, mais nous sommes seulement libres, pour vrai, auprès de Dieu.

Dieu peut tout pardonner, tout libérer. Dieu peut tout réaliser en nous, par nous, avec nous.

Le seul péché impardonnable, c'est celui de refuser le conseil de Dieu, de refuser son esprit.

L'enfer c'est de s'emprisonner loin de Dieu. C'est ce qu'on fait en suivant son propre dieu : moi.


Conclusion


La vérité ne doit pas être cachée lorsqu'on aime vraiment, car l'aveuglement volontaire n'est pas une libération, mais une prison. Aussi dorée soit-elle, c'est toujours une prison.

Si j'accepte de poser des conditions à l'existence d'un autre humain, alors je suis un esclavagiste envers tous les êtres humains. Nier la dignité humaine d'une personne, c'est accepter de pouvoir nier celle de tous. Si j'accepte, dès le départ, de poser des conditions à l'existence d'un de mes enfants, alors je suis un esclavagiste de tous mes enfants. Si j'accepte de poser des conditions à l'existence d'un enfants, alors je suis un esclavagiste de tous les enfants.

Toute interruption volontaire de grossesse, tout avortement, est un meurtre. Toutes organisation à grande échelle de crimes contre les êtres humains est un crime contre l'humanité, contre notre humanité de frères et soeurs d'un même père Divin commun.


Pour ma part, je ne suis pas un meurtrier. Je ne suis pas plus un meurtrier de meurtriers...


Volonté de Dieu (יהוה ) : « ... formés dans le ventre tout comme moi ... dès le ventre de sa mère ... Tu ne commettras pas de meurtre ... Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »